Nombre de nuits : 37
Distance parcourue : 3.044 km
Formalités : passeport et documents du véhicule.
Assurance véhicule : La SOAT est à présent incluse dans l’immatriculation équatorienne et donc indisponible pour les véhicules immatriculés à l’étranger. Il est possible de souscrire une assurance similaire auprès des grandes compagnies d’assurance. C’est très coûteux (autant pour 1 mois que pour 1 an) mais pas obligatoire, on n’a donc pas pris.
Communication : connexion internet par wifi dans les campings-hôtels, centre commerciaux et places en ville. Demander la « llave » dans les restaurants ou cybercafés.
Diesel : stations fréquentes, toujours avec diesel, prix national, moins cher que l’eau en bouteille !
Gaz : On n’a pas rempli, mais possible notamment à Ibarra près du camping Sommerwind.
Électricité : Possible de se brancher dans les hôtels-resto-camping, en 120V (exceptionnellement en 230V avec une prise spéciale pas comme en Europe).
Eau et vidange : eau disponible dans les campings ou aux stations-services, mais souvent colorée. On utilise également le girafon/botellon (20 l). Pour les WC, pratique de vider la cassette dans des toilettes des sites visités.
Bivouacs : dans les parkings d’hôtels, de restaurants, en camping, dans la rue (place du village, cimetière) en demandant à la Police ou au garde présent.
Cartographie : GPS OsmAnd sur smartphone.
Les maladies du CC : La descente de Cuenca via le PN Cajas vers Guayaquil (plus de 4.000 m de dénivelé d’une traite) a fait mal aux plaquettes de frein arrière, fumée et perte d’efficacité. De nouveau opérationnel après refroidissement, un nouveau jeu de plaquette arrive de Belgique avec les prochains visiteurs.
Note au sujet du porteur : garage Iveco à Quito (attention coût de la main d’œuvre) et à Guayaquil (société Comreivic, travail propre et sérieux).
Équipement : Rien à déclarer, si ce n’est que le four nous a sorti quelques belles pizzas (merci ma Princesse).
On a aimé : L’état général des routes, faire le plein ( !), les parcs nationaux libres d’accès (sauf Galápagos bien entendu) et bien aménagés.
On n’a pas aimé : La chaleur moite de Guayaquil, la difficulté d’accéder à certains sites (gros casse-vitesse, bordures, piste).
Nos coups de cœur : Les excursions en train (en particulier Nariz del Diablo), le Chimborazo ou monter à 5.000 m pour les nuls, les baleines de Puerto Lopez.